AFFAIRE SEZNEC : L’INJUSTICE JUSQU’A L’ÉCOEUREMENT...
jeudi 14 décembre 2006
On dit notre justice lente, c’est une litote... surtout lorsqu’il s’agit, pour elle, de reconnaître sa faillibilité.
Plus de quatre-vingt-deux années d’erreur judiciaire ne suffisaient pas, ce 14 décembre 2006, la chambre criminelle de la Cour de cassation a refusé de réhabiliter Guillaume Seznec, condamné à tort en 1924 !
Saluons tout de même, le formidable combat de la famille de ce dernier et plus particulièrement de mon ami, Denis Seznec qui, j’en suis persuadé, ne cédera pas ! En digne breton, il continuera, avec entêtement et détermination, à lutter pour que soit reconnue l’innocence de son grand-père...
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