Il ne fait pas bon se prénommer "OMAR" dans notre beau pays des Droits de l’homme, surtout lorsqu’une inscription, en lettre de sang, sur un support quelconque, désigne le porteur dudit prénom.
Dans ce cas de figure, plus besoin du moindre élément de preuve pour se voir traduit en Justice et être lourdement condamné ! (Il n’est d’ailleurs certainement pas impossible que le même phénomène puisse se produire si l’on porte un autre prénom, mais à la condition qu’il ait une consonance prisée outre-Méditerranée).
Après Omar RADDAD, voici donc Omar BOUAZZA : sa "victime", pour mieux se souvenir des faits, aurait, avec son sang, tracé "OMAR" sur un carton...
Etonnant, non ?
VOIR CI-DESSOUS, "LE DETECTIVE ROUVRE L’ENQUETE POUR OBTENIR UN NOUVEAU PROCES", UN ARTICLE SIGNE JEAN-FRANCOIS BARRE, PUBLIE DANS LE QUOTIDIEN "LA CHARENTE LIBRE", LE 13 FEVRIER 2008 -